la rigolade, la dérision, la vérité, Sète, la macaronade, la tielle, le poufre parisien avec 1 f, Le pouffre sétois avec 2 f, le poulpe de mer du dictionnaire, les joutes languedociennes, la Saint Louis, Alexandre Dumas, les vicomtes de brageole, les haricots et la seiche farcie, la rouille de seiche, les sardines et les maquereaux en escabèche, la bourride de baudroie à la sétoise, la mandroune, l'arapète, le piste, les moules farcies, les sites remarquables en voie de disparition ....
l'information décalée selon le temps ....
l'astrologie setoise ....
et le parlé sétois !
Régularisation de sans papiers Suite à la demande de Freddy Valette (voir ci-dessous) " Monsieur le Président du Vicomté de Brageole, Prince de la connerie, comte de la mauvaise foi, il ne me r...
Sète, l'île singulière, ses parfums d'iode et de macaronade, ses ruelles bordées d'anecdotes...
Qui mieux que François Liberti peut s'en faire le témoin ?
Mémoire vivante de cette ville-port emblématique, il a consacré sa vie à la pêche, au militantisme et à son rôle d'élu communiste. Avec passion et authenticité, il nous invite à découvrir une Sète vibrante, où traditions culinaires et anecdotes locales se mêlent à la grande Histoire du mouvement ouvrier.
Dans ce récit intime et sans détour, il partage pour la première fois son parcours d'homme engagé, ses luttes, ses fiertés comme ses combats pour préserver l'âme de sa ville natale.
Ce témoignage sincère et chaleureux se lit comme un appel à ne jamais se résigner.
Sète, l'île singulière, ses parfums d'iode et de macaronnade, ses ruelles bordées d'anecdotes... Qui mieux que François Liberti peut s'en faire le témoin ? Mémoire vivante de cette ville-por...
L'ancien maire PCF de Sète, qui a eu une vie très bien remplie, a pris la plume pour en dresser le bilan. Un autoportrait humaniste qui signe également celui d'une époque où l'Île Singulière...
Quand j’ai commencé à écrire les Figures Singulières, c’était sur la base d’un constat: on parle souvent des mêmes personnes quand on parle de la ville. J’ai donc orienté le curseur sur d’autres profils, ce qui ne m’a pas empêché de solliciter des « noms » (preuve par l’image). Mais même dans les noms, ce ne sont pas toujours ceux qu’on attend qui ressortent de ce premier volume. Et - c’est important de le préciser - je ne connaissais pas (du tout) 18 des 25 portraiturés. C’est dire l’exercice sociologique d’une somme pareille, qui reconstitue par pointillisme l’histoire et l’essence d’une ville qui n’est pas la mienne mais à laquelle je participe. D’ailleurs, une seule des Figures n’est pas sétoise, mais a appris son art sur les Pentes de ma Croix-Rousse natale (j’en ignorais tout!) et c’est un joli signe.
Pour les curieux, la jonction se passera le 18 Janvier 2025 à 11h au Bar du Plateau (le bar le plus cité dans les portraits), il y aura de l’amitié, des musiciens et en plus
25 portraits de sétois d'aujourd'hui !
Venez nombreux, même si vous n’êtes pas dans le livre: on parle peut être de vous !
En librairie à Sète et sur commande sur le site de l’éditeur.
‘’Le Pouffre touche la bombe’’, de Tony Foucart. 200 pages environ. 10 €.Disponible à L’Echappée belle et à la Nouvelle librairie sétoise, ainsi que surAmazon (tout autant que Le Poulpe se desseiche, épuisé par ailleurs).
“Le Pouffre touche la bombe” précède historiquement “Le Poulpe se desseiche”.
Selon le journal « fake news » :
vous le trouverez à la conciergerie du cimetière marin à compter du 1er Février 2025.
la Maire Adjointe, Déléguée à l'Action Sociale de la Ville de Sète.
Madame, Lors de notre entretien téléphonique du 13 décembre dernier, vous avez suggéré de nous retrouver devant la Mairie le 1er Janvier, pour l'opération Sakado organisée chaque année par l'association du même nom, en faveur des personnes sans domicile fixe et dont l'initiative est à saluer. Je ne viendrai pas, Madame, assister à cette distribution, mais sa couverture médiatique vous offrira, sans nul doute, une nouvelle occasion de louer l'action sociale menée par la Ville, alors que la dotation budgétaire allouée au CCAS a été revue à la baisse malgré le recensement de besoins toujours croissants. Alors que les bains-douches fermés Bd Victor Hugo n'ont été remplacés que par deux malheureuses cabines dans un local de la rue Pierre Semard. Et alors que, malgré la demande pressante de neuf associations, la Ville refuse toujours d'ouvrir la salle prévue à cet effet aux personnes sans abris, en dépit du froid qui s'est intensifié ces dernières semaines. "La salle est prête" avez-vous déclaré le 16 décembre dernier au conseil municipal. Prête mais obstinément fermée, quand 80% des appels au 115 restent sans solution. C'est difficile à comprendre et je ne saurais comment justifier cette fin de non recevoir auprès des personnes qui souhaitent ne plus dormir dans la rue. Je ne serai donc pas présente à vos côtés, Madame, quand elles rejoindront leurs abris de fortune dans le froid de l'hiver avec, pour tout viatique, un sac à dos tout neuf et l'espoir peut-être (qui paraît-il fait vivre...) d'un monde plus solidaire en 2025. C'est le voeu que pour ma part je forme pour nous tous, à la veille de cette nouvelle année.
Quand il faut payer évidemment il faut mettre la main à la poche.
Les habitants des quartiers l’ont bien compris, ils courent sottement sur les abonnements et les associations des quartiers « apolitiques de surcroît» ne pipent pas mots.
Quelques citoyens ont pétitionné du côté de la Marine. Un bug leur a donné raison. Pas n’importe quel bug, certainement le même qui a fait le devis du parking sous la place Aristide Briand –nous y reviendrons plus tard– Restons en surface.
A chacun son tour… tout vient à point à qui sait attendre.
Aujourd’hui le Jardin des fleurs, les 4 ponts, le Quartier-haut, le Quartier de la Marine …
Demain la Pointe Courte ? qui a dit ça ? On ne touche pas à la Pointe, un point c’est tout.
Selon l’administration Municipale, la raison est économique.
Il faut fluidifier la circulation le commerce local en profitera
FAUX les commerçants, les pistonnés et les abonnés utiliseront les places libres et même les places interdites : places de livraison, places d’arrêts minutes, porte de garage, trottoirs, voie réservée à la circulation.
Parlons en des voies réservées à la circulation, quand un véhicule s’arrête en milieu d’une voie pour livrer des marchandises «ecommerce» à un particulier, c’est ça de moins pour le commerce local… (comprenne qui pourra)
FAUX Selon une enquête BVA (Brageole Vicomtes Association) quand un automobiliste paye 3 ou 5 € pour stationner, c’est ça de moins qui rentre dans dans les caisses du commerce local.
Les voitures ventouses vont disparaître :
FAUX les abonnés remplaceront les voitures ventouses.
FAUX les voitures ventouses non abonnées iront pourrir la vie des quartiers aux alentours.
Et alors pourquoi étendre les zones payantes ?
Uniquement pour alimenter les caisses de l’Administration Municipale.
VRAI le fric c’est le nerf de la guerre !!! et à Sète, capitale de la culture, des festivals, du cinéma, du Rbibi et future capitale des parkings sous-marins nous avons des projets et il faut les financer…
Pour avoir plus d’infos, voir les articles de la presse locale ci-dessous.
La presse locale nous apprend en première page que « les chiffres de l’INSEE sur la ville de Sète sont éloquents ».
La suite (voir midi libre du 12/10) nous démontre que le verre est tantôt vide et tantôt plein.
Moitié plein Sète, une ville attractive
Moitié vide, une population qui vieillit et se paupérise
Moins de résidences secondaires
1 Une population en hausse malgré tout…
2 ... mais qui vieillit de plus en plus
À Sète, les plus de 60 ans représentent plus de 40 %.
La part des plus de 65 ans est ainsi passée de 29 % en 2015 à 33 % en 2021.
« Le vieillissement est particulièrement marqué à Sète, où la hausse est deux fois plus forte que dans le reste de l’Hérault »
Sète enregistre aussi moins de naissances. Le taux de natalité y baisse depuis 50 ans…
Selon une stat BVA (Brageole Vicomte Association), à Sète il se vend plus de Viagra que de pilules contraceptives.
3 Un taux de pauvreté préoccupant.
Même à Sète la théorie du ruissellement ne fait pas recette.
« Le taux de pauvreté, stable par rapport à 2015, atteint 25 %, contre 19,4 %dans l’Hérault et 15 % en France métropolitaine. Cela signifie qu’en moyenne, un Sétois sur quatre a des revenus inférieurs à 1 200 € par mois. Ou encore qu’un couple (avec deux enfants) sur quatre gagne moins de 2 550 € par mois. Les tranches d’âge les plus impactées sont les 30-39 et les 40-49 (plus de 30 % !). Plus de 60 % des habitants de l’Île de Thau vivent sous le seuil de pauvreté. Sans surprise, le taux de pauvreté est quatre fois plus élevé chez les locataires de leur logement (près de 40 %) que chez les propriétaires (10 %). »
4 Chômage
« Du mieux mais un taux élevé… »
L’INSEE pointe que « Le nombre d’emplois sur la zone est un gros effet du statut d’auto-entrepreneur ». Le taux lui-même reste bien plus élevé que les moyennes départementale (15,3 %) et surtout nationale (10,1 %) chez les 15-64 ans.
Les jeunes (ceux qui sont encore à Sète selon Brageole Vicomte Association) sont le plus touchés.
SOURCES (…) lire l’article complet de la presse locale ci-dessous.
Après le chichois de février, voilà que la gauche essaie de relever la tête.
Après une union de 2ème tour des municipales et un revers, ce fut le silence, un silence assourdissant ou Gauche, Gôche, et Drauche ont tenté d’avancer unies sans pour cela faire des déclarations unitaires…
Et maintenant, ça repart, sans se poser de questions sur l’échec, les alliances, les projets. On met tout sous le tapis jusqu’aux prochaines élections. Nous avons peut-être être sauté un épisode…
Une partie se replie dans un monde rêvé, une autre ferme la porte et ouvre la fenêtre, l’autre plus opportuniste joue du violon et fait la manche.
Et ça repart … voilà une nouvelle page qui s’entame, pas de préface, pas de programme précis, pas d’échéance, et pas d’auteur (s). Ni de Hauteur…
Mandroune : T'as vu ce chichois ? Arapète : A la baraquette ? Mandroune : Non dans l'opposition ! il ne faut pas confondre ; la baraquette ce n'est pas l'opposition .... C'est comme l'histoire de la