la rigolade, la dérision, la vérité, Sète, la macaronade, la tielle, le poufre parisien avec 1 f, Le pouffre sétois avec 2 f, le poulpe de mer du dictionnaire, les joutes languedociennes, la Saint Louis, Alexandre Dumas, les vicomtes de brageole, les haricots et la seiche farcie, la rouille de seiche, les sardines et les maquereaux en escabèche, la bourride de baudroie à la sétoise, la mandroune, l'arapète, le piste, les moules farcies, les sites remarquables en voie de disparition ....
l'information décalée selon le temps ....
l'astrologie setoise ....
et le parlé sétois !
Nous constatons que même la presse locale a tendance à débaptiser nos quartiers et nos rues.
C’est la Place Léon Blum qui devient régulièrement la Place du Pouffre ….
La Place de la République qui se transforme en place des Puces…
Et le Théâtre de la Mer Jean Vilar que l’on ampute de son identité Jean Vilar ou qui se transforme en TDM et si ça continue en Théâtre de M….
S’il vous plait, respectez nos lieux et nos identités, ne dépréciez pas ce qui fait l’identité de Sète pour faire plaisir à ceux qui se croient plus Sétois que les autochtones.
Futurs élus à vos programmes ! Si le cœur vous en dit...
Nous n’allons pas nous prendre la tête, les candidats seront là.
Ils font semblant de réfléchir, qui part ? Qui arrive ? Qui fait quoi ?
Les dés sont jetés, les mascarades sont en place.
Il y aura celles et ceux qui parlent « entre eux », celles et ceux qui ne disent rien, les plus nombreux, celles et ceux qui n’ont rien à dire, celles et ceux qui ont tout fait et celles et ceux qui vont tout refaire.
Nous allons laisser ces grands penseurs régler les idées « porteuses » celles qui sont dans l’air du temps ….
Le coût des grands travaux
Le service de l’eau et des ordures ménagères en régie
La cantine scolaire
La sécurité
Le transport urbain
La mode est aux consultations : chez un médecin elle coute 30 €. Elle est souvent remboursée. Les consultations pré-électorales sont coûteuses et oubliées avant même d’être appliquées.
Nous, nous allons passer à autre chose, nous allons nous occuper « des poils de c.. »
Ne riez pas ce n’est pas facile. Ca démange, ça dérange et personne ne vient vous aider. On vous laisse vous gratter, râler, pester, vous démerder …. Sans vous écouter.
Et puis on vous demande d’aller voter …
Mesdames, Messieurs les prétendants prenez vos marques.
Puisque nous sommes sur la lancée, voilà le premier P de C…
A Sète et aussi ailleurs, lorsque l’on veut baptiser un lieu, une rue … on prend l’habitude de le débaptiser d’abord.
Cette semaine la presse locale nous parle du Parc Simone Veil.
Cette dame a mené des grands combats :
Les droits et la dignité des détenus,
Les droits des femmes et l’I.V.G…
La mémoire de la déportation des Juifs d’Europe…
La construction de l’Europe…
Chapeau Simone … mais pourquoi supprimer « château d’eau » ? Les grands penseurs pouvaient très bien conserver l’histoire et le baptiser « Château d’eau Simone Veil ».
Et puisque nous parlons d’histoire et que la presse locale parle du Neptune, personne ne parle de l’eau qui coulait …
Neptune va-t-il retrouver sa source ? Encore un P de C à corriger.
La presse locale nous apprend en première page que « les chiffres de l’INSEE sur la ville de Sète sont éloquents ».
La suite (voir midi libre du 12/10) nous démontre que le verre est tantôt vide et tantôt plein.
Moitié plein Sète, une ville attractive
Moitié vide, une population qui vieillit et se paupérise
Moins de résidences secondaires
1 Une population en hausse malgré tout…
2 ... mais qui vieillit de plus en plus
À Sète, les plus de 60 ans représentent plus de 40 %.
La part des plus de 65 ans est ainsi passée de 29 % en 2015 à 33 % en 2021.
« Le vieillissement est particulièrement marqué à Sète, où la hausse est deux fois plus forte que dans le reste de l’Hérault »
Sète enregistre aussi moins de naissances. Le taux de natalité y baisse depuis 50 ans…
Selon une stat BVA (Brageole Vicomte Association), à Sète il se vend plus de Viagra que de pilules contraceptives.
3 Un taux de pauvreté préoccupant.
Même à Sète la théorie du ruissellement ne fait pas recette.
« Le taux de pauvreté, stable par rapport à 2015, atteint 25 %, contre 19,4 %dans l’Hérault et 15 % en France métropolitaine. Cela signifie qu’en moyenne, un Sétois sur quatre a des revenus inférieurs à 1 200 € par mois. Ou encore qu’un couple (avec deux enfants) sur quatre gagne moins de 2 550 € par mois. Les tranches d’âge les plus impactées sont les 30-39 et les 40-49 (plus de 30 % !). Plus de 60 % des habitants de l’Île de Thau vivent sous le seuil de pauvreté. Sans surprise, le taux de pauvreté est quatre fois plus élevé chez les locataires de leur logement (près de 40 %) que chez les propriétaires (10 %). »
4 Chômage
« Du mieux mais un taux élevé… »
L’INSEE pointe que « Le nombre d’emplois sur la zone est un gros effet du statut d’auto-entrepreneur ». Le taux lui-même reste bien plus élevé que les moyennes départementale (15,3 %) et surtout nationale (10,1 %) chez les 15-64 ans.
Les jeunes (ceux qui sont encore à Sète selon Brageole Vicomte Association) sont le plus touchés.
SOURCES (…) lire l’article complet de la presse locale ci-dessous.
Après le chichois de février, voilà que la gauche essaie de relever la tête.
Après une union de 2ème tour des municipales et un revers, ce fut le silence, un silence assourdissant ou Gauche, Gôche, et Drauche ont tenté d’avancer unies sans pour cela faire des déclarations unitaires…
Et maintenant, ça repart, sans se poser de questions sur l’échec, les alliances, les projets. On met tout sous le tapis jusqu’aux prochaines élections. Nous avons peut-être être sauté un épisode…
Une partie se replie dans un monde rêvé, une autre ferme la porte et ouvre la fenêtre, l’autre plus opportuniste joue du violon et fait la manche.
Et ça repart … voilà une nouvelle page qui s’entame, pas de préface, pas de programme précis, pas d’échéance, et pas d’auteur (s). Ni de Hauteur…
Mandroune : T'as vu ce chichois ? Arapète : A la baraquette ? Mandroune : Non dans l'opposition ! il ne faut pas confondre ; la baraquette ce n'est pas l'opposition .... C'est comme l'histoire de la
Le poufre parisien blanc comme un cachet d’aspine est allé promener ses « tentencules » par le canal royal le long des berges de Thau.
Espérant y trouver une nouvelle Marina comme sur les bords de la corniche et bouffer des rougets de l’étang (excellents entre parenthèses), il s’est ensablé près du port du Barrou. Enragé comme une vipère il n’a rien trouvé de mieux que de faire croire que les rougets de l’étang n’étaient pas capables de nettoyer les fonds avec leurs barbillons. Peut-être avait-il l’idée de créer l’incendie et de transformer le port du Barrou en port de plaisance.
Ça ne serait pas la première tentative. D’autres ont essayé en 2001 ils ont enroulés leurs « tentencules » à leur cou.
Le propriétaire des lieux, ce jour-là à la pêche, déroula sa turlute pour la déposer devant la bouche du « Poufre Parisien » … Ce dernier se jeta sur le leurre en crachant le noir. Nul ne saura si la turlute était bonne. La suite peut-être lundi prochain dans la presse locale.
Tous les lundis, il pose ses ventouses sur l'actualité de Sète et du bassin de Thau et évoque aujourd'hui les vents mauvais rencontrés par le Capitaine Pesqui.
Midi Libre Sète « Il est urgent de rassurer le Pouffre. Est-ce qu'il a pris une mauvaise boule sur la tête ce week-end, à l'internationale de pétanque ? S'est-il heurté au bateau du Collectif Bancs Publics ?
Car, il y a presque un mois déjà (lors de la Commission Permanente du 19 Février), l'assemblée départementale a voté une enveloppe de 540 K€ pour financer les travaux d'un ponton et de dragage du port du Barrou - propriété du département (et non sous tutelle).
Le Pouffre aurait pu éviter de gâcher son dimanche noyé par de fausses inquiétudes et commencer la semaine sereinement. Il lui suffisait de me contacter en tant que conseiller départemental du canton de Sète et président du conseil portuaire du port du Barrou ; j'aurais été ravi de le rassurer immédiatement. Sinon, s'il craignait de me déranger un dimanche, il lui suffisait de consulter les votes de la commission permanente disponibles sur internet (le lien en commentaire).
Merci de lui transmettre ce message, en espérant que cette information vérifiée et sourcée lui permette de passer une bonne semaine.
Si le sujet du port du Barrou vous intéresse, je serai heureux de vous parler de l'ensemble des investissements réalisés et des ambitions du département concernant ce sujet. »
Après sa crise d’identité sétoise de l’année dernière, avec son seul « F » et malgré ses 8 pattes il ne sera jamais Sétois.
Ça fait 10 ans qu’on le lui corne, on le croyait même atteint de surdité verbale.
On l’a connu ronchon, agressif, vif, piquant comme un oursin, le voilà devenu doux comme une huître d’Arcachon et plat somme une sole.
Hier, il cuisinait la soupe de poissons comme personne, aujourd’hui monsieur ne mange que de la friture de rougets. Finies les grillades de maquereaux et de sardines, il est devenu allergique au poisson bleu. C’est vrai que le poisson bleu, c’est chargé d’arrêtes, et si tu ne le tries pas bien, tu peux te coincer une épine dans le gosier et devenir aphone.
Et voilà qu’aujourd’hui il nous fait une crise de jalousie, à la Pointe courte on s’occupe du loup de Robert Rumeau, et au Quartier haut on ne parle que du Bouc des pierres blanches. Même pas on parle de lui, sauf au « brise lames ».
Allez, petit « poufre parisien » fais-nous aimer le lundi, ressaisis-toi, prends des cours de sétois, appelle tes halles « le marché », la place du pouffre « Léon Blum » ; les Vicomtes De Brageole ne sont pas racistes, ils n’ont pas voté la loi immigration.
« Tous les mots que vous ne comprenez pas sont expliqués dans le Sète à Dire de Raymond Coves illustré par Pierre François. Pour ceux qui n’existent pas posez vos questions en commentaire, nous répondons 24 h / 24 h. Ou alors adoptez un petit Sétois qui traduira.
A Sète la négation est souvent affirmative et l'affirmation souvent négative ….
Vous pouvez page accueil cliquer sur « le parlé sétois »
Il y a des sétois qui ne comprennent pas la langue des « néo sétois », elle est tellement complexe que même entr’EUX les « néo » ne se comprennent pas …
Avouez quand même qu’entre un sétois d’origine contrôlé, vicomte de brageole, et un « néo sétois » il n’y a pas photo.
Selon le vicomte de brageole visionnaire, le stationnement dans la rue Raymond Lefebvre sera supprimé sur un coté. Les autochtones devront préparer leur porte-monnaie pour stationner ou leur vélo pour raccourcir leur vie…,
Depuis plusieurs jours, les Sétois ont pu constater que de l'eau sort de terre sur le chantier de construction du parking de la place Aristide-Briand au centre-ville. Le collectif Bancs publics voit