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livre

François Liberti...

Publié le par les vicomtes de brageole

Liberti, Egalité, Fraternité & Laicité

 

Le Livre aux éditions Arcane 17

 

Francois Liberti, au service de l'humain

Sète, l'île singulière, ses parfums d'iode et de macaronade, ses ruelles bordées d'anecdotes...
Qui mieux que François Liberti peut s'en faire le témoin ?
Mémoire vivante de cette ville-port emblématique, il a consacré sa vie à la pêche, au militantisme et à son rôle d'élu communiste. Avec passion et authenticité, il nous invite à découvrir une Sète vibrante, où traditions culinaires et anecdotes locales se mêlent à la grande Histoire du mouvement ouvrier.
Dans ce récit intime et sans détour, il partage pour la première fois son parcours d'homme engagé, ses luttes, ses fiertés comme ses combats pour préserver l'âme de sa ville natale.
Ce témoignage sincère et chaleureux se lit comme un appel à ne jamais se résigner
.

François Liberti, sete, au service de l'humain, Liberté égalité fraternité laîcité, edition arcane 17

 

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Les Figures Singulières de …..

Publié le par les vicomtes de brageole

Laurent Cachard

18 Janvier 2025 à 11h au Bar du Plateau

Quand j’ai commencé à écrire les Figures Singulières, c’était sur la base d’un constat: on parle souvent des mêmes personnes quand on parle de la ville. J’ai donc orienté le curseur sur d’autres profils, ce qui ne m’a pas empêché de solliciter des « noms » (preuve par l’image). Mais même dans les noms, ce ne sont pas toujours ceux qu’on attend qui ressortent de ce premier volume. Et - c’est important de le préciser - je ne connaissais pas (du tout) 18 des 25 portraiturés. C’est dire l’exercice sociologique d’une somme pareille, qui reconstitue par pointillisme l’histoire et l’essence d’une ville qui n’est pas la mienne mais à laquelle je participe. D’ailleurs, une seule des Figures n’est pas sétoise, mais a appris son art sur les Pentes de ma Croix-Rousse natale (j’en ignorais tout!) et c’est un joli signe.

Pour les curieux, la jonction se passera le 18 Janvier 2025 à 11h au Bar du Plateau (le bar le plus cité dans les portraits), il y aura de l’amitié, des musiciens et en plus

25 portraits de sétois d'aujourd'hui !

Venez nombreux, même si vous n’êtes pas dans le livre: on parle peut être de vous !

En librairie à Sète et sur commande sur le site de l’éditeur.

 

                                                Laurent Cachard

 

Figures Singulières de Laurent Cachard sète

 

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Le Pouffre touche la bombe s’affiche sur …

Publié le par les vicomtes de brageole

 

le sommier des arts

Pascal Granger
Pascal Granger à l'affichage
Tony Foucart
Tony Foucart

Selon le journal Midi Libre :

‘’Le Pouffre touche la bombe’’, de Tony Foucart. 200 pages environ. 10 €.Disponible à L’Echappée belle et à la Nouvelle librairie sétoise, ainsi que surAmazon (tout autant que Le Poulpe se desseiche, épuisé par ailleurs).

“Le Pouffre touche la bombe” précède historiquement “Le Poulpe se desseiche”.

 

Selon le journal « fake news » :

vous le trouverez à la conciergerie du cimetière marin à compter du 1er Février 2025.

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Rentrée littéraire à Sète …

Publié le par les vicomtes de brageole

23/01/2023

Dans la Série Xtine Boileau de FB le premier exemplaire de

« L’homme qui déplantait des arbres »

une oeuvre de référence, originale, à effeuiller sans modération ...

parking, banc public, arbres, sete, francois commeinhes

 

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Disponible en librairie « Bassin de thau une histoire coopérative »

Publié le par les vicomtes de brageole

Disponible en librairie « Bassin de thau une histoire coopérative »

Elle est la plus importante coopérative conchylicole de France en nombre d’adhérents. Elle a eu cinquante ans en 2019. La coopérative des Cinq Ports (Marseillan, Mèze, Loupian, Bouzigues et Sète) permet d’acquérir à moindre coût des tables d’élevage d’huîtres et de moules sur la lagune de Thau, moyennant le versement à la coopérative d’un capital échelonné mensuellement sur plusieurs années. Ce capital est remboursé au moment de la cessation d’activité ou du départ en retraite. Les tables reviennent à la coopérative, favorisant ainsi l’installation de nouveaux conchyliculteurs et conchylicultrices au fil des ans.

L’étang de Thau relève du domaine public maritime. Les concessions conchylicoles y font l’objet d’autorisations d’occupation temporaires (AOT) accordées par l’Etat. Les premières expériences d’élevage d’huitres et de moules à l’étang datent de la fin du XIX° siècle, pour connaître un essor important après 1945. Ces tables conchylicoles étaient souvent achetées par des viticulteurs ou par des professions libérales.

 

Les conflits d’usages avec les pêcheurs de l’étang furent nombreux tout au long du XX° siècle, l’implantation de ces tables les privant de lieux privilégiés de pêche de coquillages. Au début des années 60, les « parqueurs » réclament à l’Etat un remembrement pour rationaliser l’installation de ces tables et agrandir leur périmètre d’implantation. Les pêcheurs, qui y voient une fois encore la colonisation de « leur » espace considéré comme naturel, réclament en dédommagement l’obtention de tables pour leur profession. A la faveur du soulèvement de mai 1968, ils posent à nouveau leurs conditions. Après plusieurs manifestations et blocages, réunions et concertations entre Etat, parqueurs, représentants syndicaux des pêcheurs et prud’hommes de l’étang, un accord est enfin trouvé. Le 29 juin 1968, les pêcheurs obtiennent 340 concessions, soit 680 tables, représentant un quart de l’ensemble des concessions existantes et fondent dans la foulée une coopérative pour les gérer collectivement.

 

La création des Cinq Ports, le remembrement des tables, leurs nouvelles implantations, régulières, organisées par lignes et par zones telles qu’on les connaît aujourd’hui, marque le début de l’expansion de la conchyliculture dans l’étang de Thau.

 

Un ouvrage collectif retrace cette histoire, pour l’inscrire dans l’histoire des luttes porteuses d’innovation sociale et en transmettre la mémoire. Il réunit les collaborations de Didier Aspa, Denis Regler, Christian Dorques, Hélène Morsly, Pierre Sécolier, Nicole Martelly, Erika Gervasoni.

Direction artistique : Cécile Doumayrou. Photographies d’Alain Tendero.

 

Parution : décembre 2021. Ed. Mémoires&Territoires : mt7@orange.fr

Disponible dans les librairies du Bassin de Thau et par correspondance en envoyant un chèque de 25 euros + frais de port à : Mémoires&Territoires / 35bis Avenue de Sète / 34560 Poussan.

le livre

 

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Alerte Info ! nous sommes dans l'obligation d'arrêter (pour aujurd'hui) nos billets, car il vient de sortir .....

Publié le par vicomtedebrageole

Oui il vient de sortir !

Mais qui vient de sortir ?
Mais qui vient de sortir ?
Mais qui vient de sortir ?
 
Le livre de Jean-Marc Guijarro !
 
En terme communication était il judicieux de sortir un livre
le jour des soldes ? 
Là est la stratégie de l'auteur.
 
"Partageons nos vécus"

30 invitations aux dialogues
Un livre de Jean Marc Guijarro,
le livre qui ne se solde pas. 
 
BRAVO il fallait oser et il a osé.

jean marc guijaro,patageons nos vécus, jean marc guijaro,patageons nos vécus,

pour en savoir plus cliquez sur
sinon laissez vos félicitations sur 
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Jean Vilar à dit "La culture, ce n'est pas ce qui reste quand on a tout oublié, mais au contraire, ce qui reste à connaître quand on ne vous a rien enseigné

Publié le par vicomtedebrageole

Sète s'apprête à fêter les 100 ans de la naissance de Jean Vilar ....

Cette fête sera t elle un évènement culturel et populaire ?

Quand nous voyons la marchandisation d'évènements culturels tel que "voix vives" ..... ou même "la Saint Louis" ..... pour ne citer que ceux là.

Quand nous savons que l'indicateur de mesure pris en compte par la Municipalité c'est le nombre de repas pris dans quelques restaurants, permettez-nous d'en douter.

Nous intitulerons cet évènement : Jean Vilar ! Et si ce n'était pas ses vrais pas ?

Plus encore pour vous prouver que les Vicomtes de Brageole ne sont pas des machos, qui mieux qu'une femme pour faire parler les "pas de vilar" les vrais.

sete,jean vilar,centenaire jean vilar,culture

Ne laissons pas célébrer Vilar, peinards,

accoudés aux comptoirs de vernissages mondains.

 

« Pour moi, le peuple, c’est mon père… »

J.V.

Il n’y a pas plus urgent, à l’occasion du centenaire de sa naissance, de rappeler les valeurs et les convictions – et les remises en cause - qui ont guidé la vie et l’œuvre de ce fils de boutiquier sétois de la rue Gambetta et qui, jamais, n’oublia cette origine-là.

« J’ai compris qu’il fallait d’abord savoir pour quel public on désirait jouer, c’est-à-dire travailler. (…) Il faut savoir pourquoi on fait du théâtre et en déduction, il faut savoir pour qui. Je sais, personnellement, pourquoi et pour qui je travaille : pour les classes laborieuses. Est-ce que cela n’est pas suffisamment clair ? » (1962)

C’est le bel héritage que nous lègue Vilar. Avec, en soubassement, une rigueur morale, une cohérence exigeante au service d’une vision du théâtre profitant à tous, du moins au plus grand nombre, le sortant de ses lieux confinés pour le mettre en plein vent, renouant avec ses sources grecques de fête populaire. Cela fut un travail constant, et ô combien tenace, en s’appuyant sur les réseaux associatifs de l’époque, les groupements de jeunes, d’ouvriers, d’employés.

A partir de là… que chacun, que chacune juge si, en matière de politique tout court, de politique culturelle ou de pratique personnelle, ceux qui aujourd’hui font de Vilar leur propre étendard sont en capacité de le porter bien haut, dans ces lieux de culture devenus des couloirs du pouvoir.

Qu’aurait pensé Vilar en entendant des maires de cités balnéaires parler de culture comme « vitrine touristique » d’une ville ?

Qu’en aurait-il pensé ? Il suffit de le lire :

« Où nous conduit cette festivalomanie, (…), cet orgueil des cités à vouloir être autre chose qu’une ville d’eau ou une ville du vin (…) ? (A propos du festival d’Avignon) Voilà que son prestige même n’a servi qu’à l’inclure dans un service de tourisme entre les eaux de Vichy, les pin up de Cannes, les fleurs monnayées de Nice. (…) Moi, je veux bien. Mais je suis peut-être un peu en droit de ne pas être d’accord. (…) Je quitterai Avignon le jour où on croira bon de créer un festival en toute ville historique. Et non pas, parce que la concurrence est dangereuse, mais parce que cela prouvera que l’on nous a mal compris. » (1950)

« Il s’agit maintenant de savoir si ces festivals ont fait leur temps. (…) Il s’agit de savoir ce qu’ils ont désormais dans le ventre. (…) Que représentent ces festivals de l’été aux yeux du public ? Tourisme ? Passe-temps d’un soir ? Nuit d’été dans des enceintes historiques ? Beaux costumes dans des éclairages ad hoc ? Esthétisme des petits loisirs ? Shakespeare en veux-tu-en-voilà ? Perception des taxes municipales ? Accroissement des recettes des commerçants ? Tout le monde est heureux, tout le monde se réjouit, c’est parfait. Cependant, est-ce que les festivals n’ont d’autre ambition que de faire désormais partie de la panoplie du bonhomme moderne : frigidaire, télévision, 2 CV ? (…) Il (l’artiste) ne joue bien son rôle, il n’est utile aux hommes que s’il secoue ses manies collectives, lutte contre ses scléroses, lui dit comme le père Ubu : merdre ! » (1964)

Car pour Vilar, Avignon n’a existé que par défaut, parce qu’il n’y avait plus de théâtre de tréteaux, parce que le théâtre s’était enfermé et qu’il voulait, à toutes forces, retrouver un public populaire. Pour ce faire, il a multiplié les tournées et les représentations du TNP (Théâtre national populaire) et a fait d’Avignon un lieu « d’humanisme concret » comme il le souligne, lorsqu’il évoque les Rencontres internationales de jeunes qui s’y tiennent depuis les débuts, en 1947.

Si chacun, qui se réclame aujourd’hui de Vilar, pouvait méditer son témoignage profondément, véritablement, en se demandant quel a été, quel est et quel sera son rôle pour mettre en œuvre dans sa propre vie les convictions que portait Vilar plutôt que de les détourner à des fins de basse propagande et de vœux plutôt vains… ce serait beau… et cela bouleverserait radicalement le « paysage culturel ».

Et ce serait un autre monde que celui dans lequel nous vivons, où la culture est devenue outil de promotion sociale, de distinction personnelle et de séparation des classes. Où l’on se trimballe de vernissages en coquetails, dans le chaleureux entre-soi de ceux qui ont fait de la culture leur rempart et non, comme ce fut le cas de Vilar, un sacerdoce exigeant, pauvre et, tout compte fait, peu gratifiant dans sa quête d’une culture populaire

« comme entraide et non comme aumône ».

A Sète, où l’on se prépare à « célébrer dignement » ce centenaire, j’entends dans un bar : « Nous on s’en fout, mais pour ceux de la culture, c’est un gros projet ». Dans ce « nous », j’entends « peuple ». Dans « culture », j’entends un autre monde, éloigné, distinct. Distingué. Ce que Vilar nous a appris, doit continuer à nous apprendre, c’est à ne jamais se satisfaire de cette distinction :

« Il s’agissait, dans la société divisée de ce temps, de retrouver non pas un auditoire, mais un public ; non pas des snobs et des intellectuels, mais la foule. (…) un public de toutes les classes, de tous les horizons sociaux. » (1948)

Le travail reste à faire. Sans relâche. Voilà ce qui doit être au cœur et à l’esprit, quand on fait « œuvre de culture ». Ces traces vilardiennes ne resteront vives qu’à la condition qu’elles soient labourées par des gens honnêtes, d’abord envers eux-mêmes, et qui savent la tâche ardue. Car il faut rappeler que Vilar fut attaqué de toutes parts, rama toute sa vie à contre-courant, et mourut dans un relatif abandon.

« On voudra bien admettre qu’il est extrêmement ingrat d’être responsable pendant douze ans d’un théâtre populaire et d’une culture populaire par le théâtre au sein d’une société qui, de toute évidence, ne l’est pas. » (1963)

Alors… tant mieux si Vilar, à l’occasion du centenaire de sa naissance, revient au goût du jour… Tant mieux. A condition que chacun, qui a « affaire de culture », y voit l’occasion de réfléchir à sa propre pratique. A condition que la célébration de cette naissance ne soit pas l’enterrement de première classe des valeurs qui ont animé sa vie entière.

Hélène Morsly

Sète, mars 2012

Les citations sont extraites de :  « Le théâtre, service public », Jean Vilar, Gallimard, NRF, 1975, réédité en 1993.

Pour en lire plus, voir sur le site d’Hélène cliquez : http://www.helenemorsly.fr/vilar.htm

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Sète sauvée des eaux ?

Publié le par vicomtedebrageole

Sète la conviviale, Sète la festive, Sète la singulière, Sète la presqu'île, Sète flottait entre la Méditerranée et la lagune de Thau, en ce temps là Sète était une zone humide.

Sète en l'an 2000 était simplement belle

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A Sète nous avions tout pour vivre heureux et cachés derrière les murs de béton du cap d'Agde et de la grande motte.

Sète était unique, remarquable, ensorceleuse. Son économie partagée était à la mesure de sa singularité.

Sète, son Port, ses canaux, ses joutes,

Sète et ses piscines, sa mer, ses plages,

Sète et ses Musées, son théâtre Molière, son théâtre de la Mer Jean Vilar

Sète et ses places publiques,

Sète, sa culture et ses beaux-arts, ses artistes,

Sète, ses clubs sportifs, ses exploits,

Sète, ses halles, ses marchés, ses puces dominicales,

Sète et son hôpital

Sète et sa Médiathèque,

Sète, son cimetière marin, son molle saint louis,

Sète, Saint Clair, les Pierres Blanches

Sète, sa faune, sa flore, sa biodiversité,

Sète et ses crèches, ses maternelles, ses écoles, ses collèges, ses lycées

Sète, ses bacheliers et leurs voyages à New York .....

Sète et sa cuisine,

Sète et ses quartiers véritables écoles de vie authentiques.

Et tout d'un coup plus rien !

Voilà qu'on nous explique que Sète est endormie, que Sète n'est pas belle, que Sète n'a pas le bon standard ..... que Sète va se noyer

Sète c est de la merde, Sète doit changer, se faire tirer les peaux, Sète doit sortir la tête de l'eau et assécher ses zones humides

Sète c'est pas vendeur. Sète doit se préparer pour la grande braderie de 2010 !

10 ans après Sète ne donne plus envie d'elle

Attention certaines images peuvent choquer les enfants.

Pour les regarder, comme d'ab cliquez dessus

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un copain nous a répété que quelqu'un d'autre avait dit :

 "a force de trop se faire trop tirer la peau,

 quand on cligne de l'oeil on ouvre son trou du c.."

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Après lecture de ce billet

 merci de bien vouloir faire une minute de silence

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Mais qui sont ces généreux donateurs ? et pourquoi tant de générosité ?

Publié le par vicomtedebrageole

La politique culturelle de la municipalité sétoise n'a pas de prix. (des millions d’€uros)

Les musées, les expos, les "festivaux" sont un véritable développement économique.

Tous les budgets sont à la hausse, le chômage et les impôts aussi.

Le service public lui est à la baisse et ce n'est pas fini.

Mais qui sont tous ces généreux donateurs qui ont décidé d'aider notre Maire à combler les budgets.

Exposition Dufy et son bilan flatteur : 40000 € sont versés par des partenaires privés.

Voix vives et ses très chères poésies : 95000 € sont versés par des mécènes et la Directrice du festival Maïthé Vallès-Bled a travaillé gratuitement .....(peut on travailler gratuitement pendant ses horaires de travail : that is the question)

l'Espace Brassens et ses succès à tous niveaux n'a eu aucun soutien

Le Miam avec son art modeste et son budget qui ne l'est moins à reçu 80000 € de mécénat.

OUI OUI OUI OUI les mécènes ne son pas fans de Georges, mais aiment Sète et sa culture €uro-logique.

Tout Sétois devrait avoir devant ses yeux la liste de ces Généreux Donateurs. Pourquoi ? pour les saluer dans la rue, et pour les remercier de faire de Sète la capitale culturelle de l'étang de thau.

Nos responsables disent que l'orientation culturelle de la politique municipale a créé quelques tensions incompréhensibles ......

C'est vrai le Sétois de Base râle.

Il râle parce qu'il ne comprend pas pourquoi ces mécènes qu'il ne connaît pas aide cette ville avec tant de générosité.

Selon le Larousse, un Mécène est une personne qui aide financièrement, par goût des arts, un artiste, un réalisateur, un savant, un organisme de recherche .....

La vraie question que le sétois se pose est la suivante :

Est-ce que pour nos mécènes Sétois l'art est une affaire de goût ? ou bien est ce que pour nos mécènes sétois l'art a le goût des affaires.

Cette photo intitulée la tâche, oeuvre d’un artiste Sétois méconnu, est à vendre.

 Si un Mécène est intéressé, qu’il se manifeste.

art modeste P08-12-10_12.05.JPG

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La littérature fait son Marché !

Publié le par vicomtedebrageole

Nous l'avions revendiqué depuis le mois de Juillet :

 Les Halles doivent être rattaché à la culture.(cliquez pour savoir)

C'est chose faite.

Autom'Halles le 1° Salon Littéraire

Halles de Sète

Les 16 et 17 Octobre 2010

Après les 40 de Midi Libre qui font bouger la ville

 voici les 42 qui font bouger la Littérature

CLIQUEZ SUR LE PROGRAMME

Autom'Halles 2010.jpg
Autom'Halles 2010 001.jpg

P U B

Dans les halles de Sète venez  déguster au Diégo Café le meilleur café de Sète et le moins cher

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