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economie

Sète à la loupe de l’INSEE…

Publié le par les vicomtes de brageole

 Sète à la loupe de l’INSEE…

 

La presse locale nous apprend en première page que « les chiffres de l’INSEE sur la ville de Sète sont éloquents ».

 

La suite (voir midi libre du 12/10) nous démontre que le verre est tantôt  vide et tantôt plein.

 

Moitié plein Sète, une ville attractive

Moitié vide, une population qui vieillit et se paupérise

Moins de résidences secondaires

 

1 Une population en hausse malgré tout…

2 ... mais qui vieillit de plus en plus

À Sète, les plus de 60 ans représentent plus de 40 %.

La part des plus de 65 ans est ainsi passée de 29 % en 2015 à 33 % en 2021.

« Le vieillissement est particulièrement marqué à Sète, où la hausse est deux fois plus forte que dans le reste de l’Hérault »

 

Sète enregistre aussi moins de naissances. Le taux de natalité y baisse depuis 50 ans…

 

Selon une stat BVA (Brageole Vicomte Association), à Sète il se vend plus de Viagra que de pilules contraceptives.

 

3 Un taux de pauvreté préoccupant.

 

Même à Sète la théorie du ruissellement ne fait pas recette.

 

« Le taux de pauvreté, stable par rapport à 2015, atteint 25 %, contre 19,4 %dans l’Hérault et 15 % en France métropolitaine. Cela signifie qu’en moyenne, un Sétois sur quatre a des revenus inférieurs à 1 200 € par mois. Ou encore qu’un couple (avec deux enfants) sur quatre gagne moins de 2 550 € par mois. Les tranches d’âge les plus impactées sont les 30-39 et les 40-49 (plus de 30 % !). Plus de 60 % des habitants de l’Île de Thau vivent sous le seuil de pauvreté. Sans surprise, le taux de pauvreté est quatre fois plus élevé chez les locataires de leur logement (près de 40 %) que chez les propriétaires (10 %). »

 

4 Chômage

 

« Du mieux mais un taux élevé… »

 

L’INSEE pointe que « Le nombre d’emplois sur la zone est un gros effet du statut d’auto-entrepreneur ». Le taux lui-même reste bien plus élevé que les moyennes départementale (15,3 %) et surtout nationale (10,1 %) chez les 15-64 ans.

 

Les jeunes (ceux qui sont encore à Sète selon Brageole Vicomte Association) sont le plus touchés.

 

SOURCES (…) lire l’article complet de la presse locale ci-dessous.

Midi Libre du 12 Octobre 2024

 

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brève du comptoir des vicomtes …

Publié le par les vicomtes de brageole

Sur le pouvoir d’achat

Après la baguette à 29 centimes,

bientôt la pipe à 1 € ….

promotion

 

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Disponible en librairie « Bassin de thau une histoire coopérative »

Publié le par les vicomtes de brageole

Disponible en librairie « Bassin de thau une histoire coopérative »

Elle est la plus importante coopérative conchylicole de France en nombre d’adhérents. Elle a eu cinquante ans en 2019. La coopérative des Cinq Ports (Marseillan, Mèze, Loupian, Bouzigues et Sète) permet d’acquérir à moindre coût des tables d’élevage d’huîtres et de moules sur la lagune de Thau, moyennant le versement à la coopérative d’un capital échelonné mensuellement sur plusieurs années. Ce capital est remboursé au moment de la cessation d’activité ou du départ en retraite. Les tables reviennent à la coopérative, favorisant ainsi l’installation de nouveaux conchyliculteurs et conchylicultrices au fil des ans.

L’étang de Thau relève du domaine public maritime. Les concessions conchylicoles y font l’objet d’autorisations d’occupation temporaires (AOT) accordées par l’Etat. Les premières expériences d’élevage d’huitres et de moules à l’étang datent de la fin du XIX° siècle, pour connaître un essor important après 1945. Ces tables conchylicoles étaient souvent achetées par des viticulteurs ou par des professions libérales.

 

Les conflits d’usages avec les pêcheurs de l’étang furent nombreux tout au long du XX° siècle, l’implantation de ces tables les privant de lieux privilégiés de pêche de coquillages. Au début des années 60, les « parqueurs » réclament à l’Etat un remembrement pour rationaliser l’installation de ces tables et agrandir leur périmètre d’implantation. Les pêcheurs, qui y voient une fois encore la colonisation de « leur » espace considéré comme naturel, réclament en dédommagement l’obtention de tables pour leur profession. A la faveur du soulèvement de mai 1968, ils posent à nouveau leurs conditions. Après plusieurs manifestations et blocages, réunions et concertations entre Etat, parqueurs, représentants syndicaux des pêcheurs et prud’hommes de l’étang, un accord est enfin trouvé. Le 29 juin 1968, les pêcheurs obtiennent 340 concessions, soit 680 tables, représentant un quart de l’ensemble des concessions existantes et fondent dans la foulée une coopérative pour les gérer collectivement.

 

La création des Cinq Ports, le remembrement des tables, leurs nouvelles implantations, régulières, organisées par lignes et par zones telles qu’on les connaît aujourd’hui, marque le début de l’expansion de la conchyliculture dans l’étang de Thau.

 

Un ouvrage collectif retrace cette histoire, pour l’inscrire dans l’histoire des luttes porteuses d’innovation sociale et en transmettre la mémoire. Il réunit les collaborations de Didier Aspa, Denis Regler, Christian Dorques, Hélène Morsly, Pierre Sécolier, Nicole Martelly, Erika Gervasoni.

Direction artistique : Cécile Doumayrou. Photographies d’Alain Tendero.

 

Parution : décembre 2021. Ed. Mémoires&Territoires : mt7@orange.fr

Disponible dans les librairies du Bassin de Thau et par correspondance en envoyant un chèque de 25 euros + frais de port à : Mémoires&Territoires / 35bis Avenue de Sète / 34560 Poussan.

le livre

 

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Une Marina pour qui ? pour quoi ?

Publié le par vicomtedebrageole

 

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Tout ce qui touche financièrement, structurellement et sociologiquement à notre belle ville de Sète nous intéresse. Nous suivons de près et avec intérêt le travail du Collectif une Marina pour qui ? pour quoi ? Nous avons jugé bon de diffuser la pertinence du questionnement que nous avons récupéré sur leur page Facebook.

Ces questions ont été posées mardi dernier au cours d’un entretien de 3 heures avec les représentants de l’EPR.

A Suivre ….. Après le rendu de ce soir …. !

 

Liste des questions posées à M. Gayssot, président de l’EPR Port Sud de France

Collectif "une Marina Pour Qui ? Pour Quoi ? Mardi 14 Novembe 20017

 

Mardi 14 novembre 2017, quatre membres du collectif “Une marina: Pour qui? Pour quoi?” ont rencontré trois représentants de l’EPR Port Sud de France, dont M. Gayssot, le président de l’EPR. Voici les différentes questions que nous leur avons posées, elles ont été recueillies lors des deux réunions publiques organisées par le collectif, et complétées par des recherches sur les différents enjeux de ce projet.

Vendredi 17 novembre, à 18h30 au Samary (1 quai commandant Samary), nous restituerons publiquement les réponses obtenues de la part de l’EPR à ces questions.

  1. Opérateur choisi et financement
  • L’appel d’offre et la réponse de IGY Marinas :

- Quand avez-vous publié l’appel d’offre pour la marina ?

- Combien de réponses avez-vous obtenu ? Quels sont les autres opérateurs qui ont répondu ?

- Pourquoi avoir choisi le groupe américain IGY Marinas ?

  • Montage financier :

- Pouvez-vous nous expliquer comment fonctionne le partenariat avec P&O Marinas « qui contribue notamment au financement » (article Mer et Marine, 22/09/2017) :

- P&O s’est engagé à investir 4 millions d’euros, comment se répartit le budget ?

- De son côté, combien investit le port et pour financer quoi ?

- Quelles sont vos prévisions en terme de retombées financières pour l’EPR ? Espérez-vous que ce projet de marina redresse le bilan financier de la fermeture de la Saipol ?

  1. Contenu du projet : clients ciblés et aménagements
  • Clients/plaisanciers ciblés ?

- Pourquoi cibler des « méga-yachts » de 45 à 100m (Midi Libre, 02/10/2017) ?

- Quel sera le prix de location de l’anneau ?

- Les locations sont versées directement à IGY Marina qui est censé reverser une redevance à la Région : de combien sera-t-elle ?

  • Objectif : des navires en hivernage seulement ?

- L’objectif est-il seulement de recevoir des équipages, et non des propriétaires ?

Ce qui a été dit dans la presse emmène à penser qu’il s’agit bien de créer une nouvelle destination pour les propriétaires de yachts :

Tom Mukamal, directeur général de IGY Marinas: « Nos clients ont des formations de haut niveau et voyagent couramment, ce qui implique pour notre marque de répondre à leur demande de séjour dans des sites uniques et les plus recherchés, avec des possibilités d’escales flexibles »

Sultan Ahmed Bin Sulayem, PDG de DP World : « nous serons en mesure de proposer les meilleurs services aux propriétaires et opérateurs de super-yachts, en créant des destinations répondant aux aspirations des fans du yachting »

(Extraits de Mer et marine, 22/09/2017)

- Si uniquement pour l’hivernage, pourquoi en plein cœur de ville, considéré comme un emplacement attractif, attirant pour les plaisanciers ?

  • Aménagements :

- 10 500 m2 de terre-plein : quels aménagements sont prévus ?

- Le quai sera-t-il privatisé et inaccessible aux habitants ?

- Quels dispositifs de contrôle, surveillance sont prévus ? (caméras, vigils)

- Vous annoncez une nouvelle aire d’avitaillement en carburant : où sera-t-elle placée ? combien cela va coûter ?

- Avitaillement en eau de la marina : rattachement au réseau d’eau potable de la ville ?

  • Achat d’un élévateur pour bateaux de grande dimension (Midi Libre, 17 octobre):

- Combien de tonnes pourra-t-il soulever ?

- Combien cela coûte et qui paye cet achat ?

Rappel : les pêcheurs réclament un élévateur depuis 2 ans, pouvant soulever 200 tonnes (suffisant pour les bateaux de pêche). L’élévateur prévu par l’EPR serait de 400 tonnes (largement au-dessus des attentes des pêcheurs).

- Où sera-t-il placé ?

Au carénage du Mole Saint Louis, y a-t-il vraiment assez de place pour une grue aussi grande ? Idée de faire des terres plein pour gagner sur la mer : l’autorisation de l’Etat ne va-t-elle pas poser problème ?

  • Quel est le calendrier prévisionnel des travaux ?
  • Proposition alternative : il n’y a pas de zone technique pour répondre aux besoins des armateurs, qui sont obligés d’aller ailleurs (la Ciotat, Marseille) pour faire réparer leurs bateaus, est-ce qu’on ne pourrait pas investir dans ce genre de projet qui profiterait davantage aux acteurs économiques locaux ?
  1. Emploi et retombées économiques
  • 200 emplois sont annoncés dans l’interview donné à Midi Libre le 17 octobre 2017:

- Quels emplois précisement ?

Est-ce vraiment une opportunité pour l’emploi local sachant que les bateaux ont leur propre équipage ?

- Des emplois de pilotes ou lamaneurs ?

Pilotage obligatoire dans la zone de compétence de la station de pilotage de Sète pour les bateaux d’une longueur supérieure à 55m (site internet station de pilotage maritime de Sète). Actuellement la station compte 6 pilotes (+1 en formation), et 5 marins qui s’occupent des vedettes. Combien d’emplois de pilotes créés ?

Le service de lamanage (opérations d’amarrage) est-il également obligatoire pour les grands bateaux ? (10 lamaneurs actuellement) ?

  • Prévoit-on une politique de formation pour recruter au niveau local ?

Yachting Lodge, conciergerie de yachts installé à Sète peine à recruter en local des capitaines : « Ceux qui se présentent n’ont pas les compétences pour piloter un bateau de 30m » déplore Jean-Louis Cousin, dirigeant de la conciergerie. « De plus, ils sont titulaires de diplômes qui ne permettent pas de les embarquer sous pavillon étranger »

Rappel : Des projets antérieurs devaient créer des emplois : Pajot, le Défi Suisse. Au final nous n’avons pas eu de retombées positives

  • Retombées dans l’économie locale :

- Quelles retombées précisément ? Que vont consommer les propriétaires de yachts au niveau local ?

« 10% de la valeur d’un navire est ventilé dans l’économie locale » (Midi Libre, 02/10/2017) pour l’entretien et la réparation

Mais, il existe de nombreuses sociétés spécialisées dans l’entretien, la réparation et la maintenant des yachts. Comment imaginer que les propriétaires de yachts ne font pas faire appel à leurs partenaires habituels ?

  • Pourquoi choisir de développer la plaisance et non pas la pêche, alors que la plaisance semble en baisse d’activité ?

On a vu qu’il y avait une baisse de l’activité de plaisance : -35,4% de forfait été, et -41% du nombre d’escale.

Alors que l’activité pêche est en progression (chiffre d’affaire de la criée de +20% : le tonnage vendu a progressé de 16%, + activité de vente de glace, location de bacs) : pourquoi ne pas poursuivre plutôt les investissements pour la pêche ?

Source : rapport du conseil portuaire, réunion du 8 novembre 2017

  • Les côtes françaises attirent-elles encore les yachts ?

« Le secteur torpillé par la fiscalité » (dossier spécial Grande Plaisance, Méridien Mag, avril 2014)

- En 2014, la France est obligée de supprimer l’exonération de TVA appliquée jusqu’alors à la location de yachts commerciaux utilisés à des fins d’agrément (décision de la Cour de justice européenne).

« La TVA est redevable dans le pays d’embarquement. Les yachts vont désormais embarquer ailleurs, notamment en Italie où la fiscalité est plus avantageuse » (Frédéric Verrons, animateur métier Grande Plaisance pour Superyachtfrance, dossier spécial Grande Plaisance, Méridien Mag, avril 2014)

- Idem pour la taxe sur les carburants : depuis 2017, nouvelle réglementation sur la Taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques

« En allant en Italie, où les taxes sur le gazole maritime sont moins importantes, un yacht de 42m peut faire une économie de 21 000 euros sur un plein. Tout richissime qu’ils sont, les propriétaires n’ont pas hésité longtemps pour mettre le cap à l’Est ». « Depuis le début de l’année, le nombre de yachts ravitaillés en carburant par nos soins a chuté de 50%, voire de 70% pour les unités commerciales sous pavillon non-européen » (calcul de Riviera Yachting Network, qui regroupe plus de 90 entreprises de la filière, article du journal Var Matin, 4 août 2017)

- Etant donné que le coût du travail a aussi augmenté, peut-on vraiment s’attendre à ce que des marins résidents en France soient recrutés ?

Depuis 2017, obligation de cotiser à la sécurité sociale pour les marins résidents en France (qui auparavant, n’avaient ni sécurité sociale, ni assurance, ni chômage du fait de leurs contrats de travail établis dans les pays d’origine des bateaux).

- Les yachts sont-ils soumis à des impôts locaux ? (taxe foncière, taxe d’habitation)

  1. Les conséquences sociales et environnementales
  • Conséquences sur les prix de l’immobilier :

- L’arrivée d’une clientèle très fortunée ne risque-t-elle pas de faire bondir les prix de l’immobilier, contraignant les populations du centre ville à aller se loger ailleurs ? + disparition des commerces de proximité, remplacés par des boutiques de luxe

Ce processus de gentrification s’observe dans de nombreuses villes ayant accueilli des marinas pour yachts de luxe, il est donc légitime de s’en inquiéter : « Pour attirer cette clientèle richissime, la montée en gamme de la ville s’opère à travers différents leviers : la rénovation de la ville et des espaces publics, l’offre d’hébergement et la promotion du territoire » (Stéphan Rossignol, maire de la Grande-Motte, citation extrait du dossier spécial Grande Plaisance, Méridien Mag, avril 2014)

- Prévoyez-vous des mesures ou des actions particulières pour empêcher ce type de processus ?

  • Qualité environnementale du projet :

- Avez-vous fait une étude d’impact environnemental pour ce projet ?

Dans l’appel d’offre pourvue par IGY Marinas, la qualité environnementale du projet n’apparaît pas du tout comme une priorité (5 sur 100).

- Peut-on s’attendre à de nouvelles pollutions, notamment des milieux marins ?

Rapport « La grande plaisance dans les sites Natura 2000 de Méditerranée, produit par l’antenne méditerranée de l’Agence des aires marines protégées : rapport qui pointe les impacts négatifs sur l’environnement, en particulier sur les fonds marins. « Ces impacts ont de multiples conséquences : diminution de la biodiversité et des ressources halieutiques, érosion des plages, prolifération d’espèces envahissantes, ou encore dégradation de la qualité de l’eau ».

- A-t-on prévu les infrastructures nécessaires pour récupérer et traiter les eaux noires et grises des bateaux, les eaux de balaste ? Si oui lesquelles ?

- Quels dispositifs sont prévus en cas d’accidents et/ou d’incendies en mer ou au port, afin de gérer les pollutions aux hydrocarbures et les interdictions de baignade ?

  • Pollution de l’air et nuisances sonores :

- Peut-on s’attendre à de nouvelles pollutions de l’air ? Combien de CO2 un yacht émet-il ?

- Une piste d’hélicoptère est-elle vraiment prévue comme indiqué sur la photo ? A-t-on mesuré les impacts en terme de pollution de l’air ?

Un vol en hélicoptère représente la plus importante pollution en CO2 par personne (600kg de CO2 par heure.)

Un hélicoptère représente une nuisance sonore de 105 décibels, décuplées par la résonnance sur les immeubles en ville (105 décibels est 50% plus bruyant qu’un marteau-piqueur)

- Quelles sont les réglementations concernant le vol d’hélicoptères en ville ?

- Peut-on s’attendre à d’autres nuisances sonores liées à l’intensification du trafic des bateaux ?

  • Conciliation avec les usagers actuels du quai et de l’espace maritime :

- L’intensification du trafic en mer ne risque-t-elle pas de créer des conflits avec les usagers actuels de l’espace maritime, et notamment les pêcheurs ?

En 2011 sur la côte cannoise, ces derniers dénoncent les conséquences du yachting sur leur profession et le milieu marin ;

- Comment allez-vous organiser le déplacement de bateau pour Escale à Sète et pour les paquebots ?

« l’opérateur principal s’est d’ailleurs engagé à faire place nette tous les 2 ans pour la tradition maritime escale à Sète ainsi que pour les escales de paquebot de croisière prévues sur les quais d’Alger et du Maroc jusqu’en 2022 » (Midi Libre, 02/10/2017)

  • Débat public :

- prévoyez-vous un débat public, des réunions avec les habitants autour de ce projet ?

- Si oui, s’agit-il de simple information ou d’une réelle participation à la définition du projet ?

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les milliardaires à Sète "ça se précise" !

Publié le par vicomtedebrageole

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La Marina sétoise pour milliardaires c'est pour bientôt !

vous recherchez un emploi ? préparez votre  CV !

pour tout savoir cliquez       ici

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Robin des Bois se transforme en Merlin l’Enchanteur !

Publié le par vicomtedebrageole

Les affaires reprennent sur le Port de Sète !

Apres les yachts des milliardaires (cliquez sur igy marinas) qui vont injecter dans l’économie sétoise 4 Millions d’euros d’investissement soit 200 emplois permanents et 90 M€ par an pour l’entretien et la gestion des navires, Jean Claude Gayssot le Président de l’EPR Port Sud de France revient de Dubaï, (cliquez sur voir qui) et transforme les 8 mois d’arrêt de Saipol en trafic de conteneurs …. (cliquez sur pourquoi une fermeture de 8 mois)

A cette cadence, après avoir ponctionné les riches Robin des Bois se transformerait il en Merlin l’Enchanteur !

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Des yachts de milliardaires pour sauver l’économie sétoise

Publié le par vicomtedebrageole

Après la fiction demain nous appartient voilà la réalité «demain leur appartient ».

Ils nous auront tout fait. Les avale-bouchons ont tout gobé !

-      Marc Pajot a disparu des radars sétois

-      La Base Tabarly est aujourd’hui qu’un repaire de rats

-      Les projets du défi Suisse transformés en garage à bateaux sur les quais de Cayenne à la place d’une zone technique pour la pêche. ………

Et aujourd’hui on nous annonce une Marina privée pour milliardaires sur des équipements publics  ……

Décidément demain leur appartient !

 Les promesses

- 12 navires de 45 à 100 mètres

- des milliardaires qui dépensent annuellement 10 % de la valeur du navire à son entretien et sa gestion

- des navires qui coutent 1 M€ le mètre linéaire.

Prospective des Vicomtes de Brageole

12 navires de 75 m de coque environ = 900 metres de coque !

Valeur des navires = 900 mètres de coque x par 1 M€ = 900 M€

Retombées pour l économie locale 900 M€ X 10% = 90 M€

 90 M€ pour Sète selon Robin des Bois (1)

90 M€ à condition que ces navires à pavillons étrangers …… dépensent sur Sète, les salaires, l’avitaillement, l’entretien et les réparations. Vous y croyez ?

Les promesses rendent les enfants joyeux. 

(1) Robin des bois = Jean claude Gayssot Président de l’EPR Port Sud De France celui qui prend au riches pour donner aux pauvres.

 

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Ce que ne dit pas le sondage B V A sur le paradis Sètois ....

Publié le par vicomtedebrageole

Vous le trouverez sur

le rapport de la Chambre Régionale des Comptes

CLIQUEZ sur

Je veux tout savoir !

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Elections Régionales : idée de programme pour récupérer les bulletins de vote des conchyliculteurs !

Publié le par vicomtedebrageole

Cette semaine si l’on en croit la presse locale et plus particulièrement le pouffre de Midi Libre, la réouverture du bassin de thau ne tient qu’à un test de souris.

Après le pet de lapin voilà le test de la souris.

Nous qui avons cru que le test de la souris n’existait plus :

Cliquez sur : Test de la souris

Si la nouvelle de  my tf1 new  est  inexacte, nous proposons à tous les candidats aux élections régionales d’inclure dans leur programme « la création d’un élevage de souris ».

Dans tous les cas, souris ou lapin, Ifremer ou « l’institut sans cerveau », administration ou politiques, responsables professionnels ou éleveurs de souris, ne jouez pas avec votre chemise ..... il y va de la vie d'une profession.

 

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C'est bouche de baudroie qui l'a dit !

Publié le par vicomtedebrageole

 
Pour relancer les affaires et l'économie Sétoise :
Bientôt à la corniche, un magasin alimentaire de proximité devrait voir le jour !
 
En parlant Sétois : il s'agirait d'une petite-grande surface ..... pour faciliter la vie des citadins qui vivent ou travaille à proximité.
 
On y trouvera de tout, des fruits et des légumes de saison, de la viennoiserie, du pain, un espace détente pour manger .... enfin tout ce qu'on ne trouve pas actuellement à la corniche.
 
et bouche de baudroie en rajoute en disant : c'est ça la liberté libérale du libéralisme ! hé ?
 

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