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nature-environnement

Aux Herbettes, air bête à demi …

Publié le par les vicomtes de brageole

 

Dans la « précipoté du Quartier-haut » il existe une enclave qui se nomme le plan des Herbettes. Ce plan surplombe le terrain de boules « Henri Anselme » et la maison des anciens baptisée les Herbettes.

On y arrive par l’ancienne rue Villaret Joyeuse prolongée baptisée depuis 1985 la rue Jean Robert Pinet.

Ce plan des Herbettes depuis 2 ans est devenu un lieu de stationnement anarchique. Et vas-y que je pose devant ma porte un panneau de travaux fantômes, panneau qui se transforme à la nuit tombée en place privée pour voiture et vas-y que je gare ma moto, moto qui se déplace à la nuit tombée sur les aires de stationnement moto et qui se transforme en place de stationnement pour voiture. Et vas-y que je dépose une chaise, une table, avec comme objectif de privatiser le domaine public pour mes voitures perso.

A tout ce méli-mélo s’ajoute les véhicules ventouses … tous modèles confondus. N’oublions pas de rajouter les voitures des « Rbibi »

Aujourd’hui, c’est le boulodrome qui a été amputé, depuis plusieurs jours. Un jardin clôturé est sorti de terre. Ce jardin est positionné parallèlement à un mur dont la mitoyenneté existe depuis que les Herbettes existent. Les Herbettes existaient même avant le mur.

Dans cette belle ville de Sète, normalement quand une infrastructure sort de terre, elle n’échappe pas à la presse locale, et au journal municipal « le Sète.fr »

Sur ce coup rien, même pas une demi-ligne de propagande.

On se pose même la question sur les infos qui circulent dans l’ancre, ce journal sympathique de Sète. Cette Ancre sétoise, écologiste, de gauche, féministe, citoyenne et culturelle.

Pourquoi l’Ancre ne pipe pas mots … ?

quartier haut, sete, henri anselme, jean robert pinet, stationnement, mitoyenneté, sete fr, ancre, ecologie, gauche, laura seguin, gabriel blasco, veronique calueba rizzolo,
le jardin du terrain de boules

 

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Gégé soutient les agriculteurs...

Publié le par Dessins Miss Lilou

Cet article est reposté depuis Dessins Miss Lilou.

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Emballages déballages des presses et vous …

Publié le par Iris de la causerie des lilas

Autrefois au marché on emballait avec du papier journal

Pour préserver la fraîcheur pour limiter les odeurs désormais les journaux emballent n’importe qui n’importe quoi pourvu qu’il n’y ait pas (trop) d’odeur. L’emballage est de plus en plus volumineux son rapport à l’objet s’est inversé. L’objet (ou le produit) n’existe plus seul l’emballage persiste

C’est peut-être pour ça qu’il sent mauvais de plus en plus mauvais

francois commeinhes, midilibre, herault du jour, la marseilllaise ,
le kiosque place aristide briand

 

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Rentrée littéraire à Sète …

Publié le par les vicomtes de brageole

23/01/2023

Dans la Série Xtine Boileau de FB le premier exemplaire de

« L’homme qui déplantait des arbres »

une oeuvre de référence, originale, à effeuiller sans modération ...

parking, banc public, arbres, sete, francois commeinhes

 

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Le Parking sous la place Aristide Briand

Publié le par les vicomtes de brageole

En mélangeant les thons et les tons la presse locale envenime- t-elle le débat ?

Là est la question !

Pour calmer les esprit, nous vous proposons d’écouter le cha cha des thons avec un C comme Crocodile

parking arisitide briand, commeinhes, banc public, kiosque,
montage VDB sur coupures de journal Midi Libre du 26/09/2022

 

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Il était une fois dans les années 60 .... La Nouvelle Floride !

Publié le par les vicomtes de brageole

 

Faisons référence à l'histoire

Publié le par vicomtedebrageole

En perquisitionnant notre Boite à Lettre, nous avons trouvé un document dont nous vous livrons quelques extraits .....

Il vous suffira de cliquer sur chaque document pour une bonne lecture ....

sete, plage de sète, lido de sète, banque, banquier, pompidou, mission racine

Bon Bain !

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Ils ont osé ...

Publié le par La mandroune

Ils ont osé ….défigurer le phare du mole Saint Louis à Sète.

Construit en 1861 en pierre de Cassis le phare est démoli en 1944 par l’armée allemande. Il sera reconstruit en 1948 en pierre de Frontignan ou habitent nos ennemis intimes.

Sur une plaque à l’entrée du phare on peut lire une citation de Paul Valéry « son œil mobile mêlé aux éclairs de périls, l’eau riante et la danse infidèle des vagues »

Aujourd’hui ils n’ont pas hésité à installer une grue sur ce monument historique. Une grue qui servira pour le carénage des yachts de la Marina ….

Drôle d’idée !!!

phare mole saint louis sète, poisson d'avril, premier avril,
phare saint louis sète

 

 

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Le parking Aristide Briand selon bouche de baudroie

Publié le par les vicomtes de brageole

Devant le marché ce matin ...

Arapète : Ho comment vas-tu ça fait des mois que je te vois pas

Mandroune : Tu sais l’hiver je fais comme les tortues je reste dans ma coquille.

Arapète : T’en fais une belle de tortue je te dis que ça.

Mandroune : Et toi comment vas-tu ?

Arapète : Ecoute, je vais au marché tous les jours sauf le mercredi car y a trop de monde et avec le covid je fais toujours attention. Par contre le samedi je vais à la manif !

Mandroune : A la manif ? Quelle manif ?

Arapète : Hé bé celle du « parkinge » de l’esplanade centrale, pour sauver les arbres, le kiosque et le puit …..

Mandroune : Encore ce « parkinge » mais t’es pas au courant ?

Arapète : Au courant de quoi ?

Mandroune : Au courant que « ne le répète pas au moins » tu sais la cousine de mon voisin qu’on appelle  « la midinette » ! Celle qui travaille à la commune, elle a rencontré mon amie « bouche de baudroie » et tu sais ce qu’elle lui a dit ?

Arapète : Non accouche ne me fait pas mijoter !

Mandroune : Elle lui a dit « ne le répète pas au moins ? »

Arapète : Mais non tu me connais quand même ?

Mandroune : Elle lui a dit qu’elle avait entendu dire dans les couloirs que le « parkinge » hé bé le Maire il n’a pas envie de le faire maintenant. Il verra de le faire après, si le « bondieu veut » …. Et tu sais que en politique quand on dit après c’est pas demain la veille.

Arapète : Mais pourquoi il laisse faire les manifestations, les pétitions et tutti quanti ?

Mandroune : il parait que ça lui permet de tâter le terrain et puis ça lui sert de sondage pour plus tard.

Arapète : Si ta « bouche de baudroie » pouvait avoir raison, ça m’éviterait de manifester le samedi et je pourrais faire mon repassage parce que mon fils le « gommeux » il en fini pas de roumèguer. Et ma chemise est pas prête, et ma cravate, et mon pantalon ….

Enfin que le « bondieu t’entende » !

Mandroune : Tu sais bouche de baudroie elle a une grande bouche mais aussi des bonnes oreilles de dauphin…. Aller à plus y a le car qui arrive, je re-monte au quartier haut … bisesss

 

Tous les mots que vous ne comprenez pas sont expliqués dans le Sète à Dire de Raymond Coves illustré par Pierre François.

Pour ceux qui n’existent pas posez vos questions en commentaire, nous répondons 24 h / 24 h. Ou alors adoptez un petit Sétois qui traduira.

A Sète la négation est souvent affirmative ….

Vous pouvez page accueil cliquer sur « le parlé sétois »

Prenez en note.

sete, parking, place aristide briand, commeinhes, bancs publics, joel monnier
"remets-le là où il était ! finalement ça m'arrange !"

 

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Place Aristide Briand le projet de parking évolue ….

Publié le par les vicomtes de brageole

Place Aristide Briand le projet de parking évolue ….

Après la découverte d’un puits sous l’esplanade (voir midi libre ci-dessous) le projet est maintenu et le service à la clientèle sera amélioré !

En effet, en plus du parking il est prévu une station de lavage.

Le prix du lavage sera inclus dans le prix du stationnement.

Pour 10 heures, 1 lavage gratuit !

Pour 20 heures, 1 lavage avec séchage !

photo midi libre du 18 Janvier 2022

 

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Disponible en librairie « Bassin de thau une histoire coopérative »

Publié le par les vicomtes de brageole

Disponible en librairie « Bassin de thau une histoire coopérative »

Elle est la plus importante coopérative conchylicole de France en nombre d’adhérents. Elle a eu cinquante ans en 2019. La coopérative des Cinq Ports (Marseillan, Mèze, Loupian, Bouzigues et Sète) permet d’acquérir à moindre coût des tables d’élevage d’huîtres et de moules sur la lagune de Thau, moyennant le versement à la coopérative d’un capital échelonné mensuellement sur plusieurs années. Ce capital est remboursé au moment de la cessation d’activité ou du départ en retraite. Les tables reviennent à la coopérative, favorisant ainsi l’installation de nouveaux conchyliculteurs et conchylicultrices au fil des ans.

L’étang de Thau relève du domaine public maritime. Les concessions conchylicoles y font l’objet d’autorisations d’occupation temporaires (AOT) accordées par l’Etat. Les premières expériences d’élevage d’huitres et de moules à l’étang datent de la fin du XIX° siècle, pour connaître un essor important après 1945. Ces tables conchylicoles étaient souvent achetées par des viticulteurs ou par des professions libérales.

 

Les conflits d’usages avec les pêcheurs de l’étang furent nombreux tout au long du XX° siècle, l’implantation de ces tables les privant de lieux privilégiés de pêche de coquillages. Au début des années 60, les « parqueurs » réclament à l’Etat un remembrement pour rationaliser l’installation de ces tables et agrandir leur périmètre d’implantation. Les pêcheurs, qui y voient une fois encore la colonisation de « leur » espace considéré comme naturel, réclament en dédommagement l’obtention de tables pour leur profession. A la faveur du soulèvement de mai 1968, ils posent à nouveau leurs conditions. Après plusieurs manifestations et blocages, réunions et concertations entre Etat, parqueurs, représentants syndicaux des pêcheurs et prud’hommes de l’étang, un accord est enfin trouvé. Le 29 juin 1968, les pêcheurs obtiennent 340 concessions, soit 680 tables, représentant un quart de l’ensemble des concessions existantes et fondent dans la foulée une coopérative pour les gérer collectivement.

 

La création des Cinq Ports, le remembrement des tables, leurs nouvelles implantations, régulières, organisées par lignes et par zones telles qu’on les connaît aujourd’hui, marque le début de l’expansion de la conchyliculture dans l’étang de Thau.

 

Un ouvrage collectif retrace cette histoire, pour l’inscrire dans l’histoire des luttes porteuses d’innovation sociale et en transmettre la mémoire. Il réunit les collaborations de Didier Aspa, Denis Regler, Christian Dorques, Hélène Morsly, Pierre Sécolier, Nicole Martelly, Erika Gervasoni.

Direction artistique : Cécile Doumayrou. Photographies d’Alain Tendero.

 

Parution : décembre 2021. Ed. Mémoires&Territoires : mt7@orange.fr

Disponible dans les librairies du Bassin de Thau et par correspondance en envoyant un chèque de 25 euros + frais de port à : Mémoires&Territoires / 35bis Avenue de Sète / 34560 Poussan.

le livre

 

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