Jusqu’où le « poufre parisien » ira-t-il dans sa déprime ?

Publié le par les vicomtes de brageole

Après sa crise d’identité sétoise de l’année dernière, avec son seul « F » et malgré ses 8 pattes il ne sera jamais Sétois.

Ça fait 10 ans qu’on le lui corne, on le croyait même atteint de surdité verbale.

On l’a connu ronchon, agressif, vif, piquant comme un oursin, le voilà devenu doux comme une huître d’Arcachon et plat somme une sole.

Hier, il cuisinait la soupe de poissons comme personne, aujourd’hui monsieur ne mange que de la friture de rougets. Finies les grillades de maquereaux et de sardines, il est devenu allergique au poisson bleu. C’est vrai que le poisson bleu, c’est chargé d’arrêtes, et si tu ne le tries pas bien, tu peux te coincer une épine dans le gosier et devenir aphone.

Et voilà qu’aujourd’hui il nous fait une crise de jalousie, à la Pointe courte on s’occupe du loup de Robert Rumeau, et au Quartier haut on ne parle que du Bouc des pierres blanches. Même pas on parle de lui, sauf au « brise lames ».

Allez, petit « poufre parisien » fais-nous aimer le lundi, ressaisis-toi, prends des cours de sétois, appelle tes halles « le marché », la place du pouffre « Léon Blum » ; les Vicomtes De Brageole ne sont pas racistes, ils n’ont pas voté la loi immigration.

« Tous les mots que vous ne comprenez pas sont expliqués dans le Sète à Dire de Raymond Coves illustré par Pierre François. Pour ceux qui n’existent pas posez vos questions en commentaire, nous répondons 24 h / 24 h. Ou alors adoptez un petit Sétois qui traduira.

A Sète la négation est souvent affirmative et l'affirmation souvent négative ….

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