Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

animation

Escale à Sète : un vrai succès populaire !

Publié le par vicomtedebrageole

Le succès d’Escale à Sète, un cygne ? Ou un Signe ?

sete,escale à sète,en rade à sète

Un Signe, qui fait la démonstration qu'un évènement populaire, sans débauche de .......... (à vous de compléter), est capable de déplacer les foules et de faire tourner l'économie de locale.

Un Signe, qui nous fait regretter que le Salon de la Mer, lancé par la Jeune Chambre Économique de Sète, soutenu par la Municipalité "Liberti" et enterré par la Municipalité « Commeinhes« , était une belle initiative, 10 ans de perdu !

Un Signe, que le Spectacle vivant de Sète Histoire (enterré aussi) rentrait dans le droit fil des festivités populaires capables de générer une activité économique. (le lecteur remarquera que nous ne faisons pas de signe au corso)

MAIS ! la photo souvenirs parle pour nous 

sete,escale à sète,en rade à sète

 OUI il y a toujours un MAIS avec les vicomtes de brageole, car s'il n'y avait pas un MAIS nous serions des Vicomtes de brageole « chabide » (chabide = bigleux, myope, ou fade, sans saveur)

Donc ..... MAIS

le succés d’Escale à Sète ne doit pas nous faire oublier que Sète est en Rade ......

En rade, son Port de Commerce a du mal à digérer les promesses électorales !

En rade, son secteur Pêche se meurt. La petite plaisance, et plus tard la grande sont entrain de le fossiliser et de le mettre au musée.

En rade, les navires de ses lignes régulières sont à l'arrêt et servent d'abris à des marins abandonnés . Toute l'activité qui gravitait autour de ces lignes est totalement sinistrée

En Rade de tout projet économique

mis à part peut être la construction d'une centrale à béton ....

 

sete,escale à sète,en rade à sète

cliquez sur les photos pour un poster gratuit

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0

Les écrans du Languedoc de Balaruc les Bains

Publié le par vicomtedebrageole

Soirée Spéciale GEORGES BRASSENS

18H30 LE REGARD DE GEORGES BRASSENS

21H BREL, BRASSENS, FERRE,

TROIS HOMMES SUR LA PHOTO

BALARUC-LES-BAINS

MAISON DU PEUPLE le Vendredi 6 Avril 2012

RENCONTRES AVEC LE CINÉMA EN REGION

QUARTIER DES USINES - ENTRÉE GRATUITE

les écrans du languedoc soirée Brassens 1.pdf

les ecrans du languedoc soirée brassens 2.pdf 

Partager cet article
Repost0

Jean Vilar à dit "La culture, ce n'est pas ce qui reste quand on a tout oublié, mais au contraire, ce qui reste à connaître quand on ne vous a rien enseigné

Publié le par vicomtedebrageole

Sète s'apprête à fêter les 100 ans de la naissance de Jean Vilar ....

Cette fête sera t elle un évènement culturel et populaire ?

Quand nous voyons la marchandisation d'évènements culturels tel que "voix vives" ..... ou même "la Saint Louis" ..... pour ne citer que ceux là.

Quand nous savons que l'indicateur de mesure pris en compte par la Municipalité c'est le nombre de repas pris dans quelques restaurants, permettez-nous d'en douter.

Nous intitulerons cet évènement : Jean Vilar ! Et si ce n'était pas ses vrais pas ?

Plus encore pour vous prouver que les Vicomtes de Brageole ne sont pas des machos, qui mieux qu'une femme pour faire parler les "pas de vilar" les vrais.

sete,jean vilar,centenaire jean vilar,culture

Ne laissons pas célébrer Vilar, peinards,

accoudés aux comptoirs de vernissages mondains.

 

« Pour moi, le peuple, c’est mon père… »

J.V.

Il n’y a pas plus urgent, à l’occasion du centenaire de sa naissance, de rappeler les valeurs et les convictions – et les remises en cause - qui ont guidé la vie et l’œuvre de ce fils de boutiquier sétois de la rue Gambetta et qui, jamais, n’oublia cette origine-là.

« J’ai compris qu’il fallait d’abord savoir pour quel public on désirait jouer, c’est-à-dire travailler. (…) Il faut savoir pourquoi on fait du théâtre et en déduction, il faut savoir pour qui. Je sais, personnellement, pourquoi et pour qui je travaille : pour les classes laborieuses. Est-ce que cela n’est pas suffisamment clair ? » (1962)

C’est le bel héritage que nous lègue Vilar. Avec, en soubassement, une rigueur morale, une cohérence exigeante au service d’une vision du théâtre profitant à tous, du moins au plus grand nombre, le sortant de ses lieux confinés pour le mettre en plein vent, renouant avec ses sources grecques de fête populaire. Cela fut un travail constant, et ô combien tenace, en s’appuyant sur les réseaux associatifs de l’époque, les groupements de jeunes, d’ouvriers, d’employés.

A partir de là… que chacun, que chacune juge si, en matière de politique tout court, de politique culturelle ou de pratique personnelle, ceux qui aujourd’hui font de Vilar leur propre étendard sont en capacité de le porter bien haut, dans ces lieux de culture devenus des couloirs du pouvoir.

Qu’aurait pensé Vilar en entendant des maires de cités balnéaires parler de culture comme « vitrine touristique » d’une ville ?

Qu’en aurait-il pensé ? Il suffit de le lire :

« Où nous conduit cette festivalomanie, (…), cet orgueil des cités à vouloir être autre chose qu’une ville d’eau ou une ville du vin (…) ? (A propos du festival d’Avignon) Voilà que son prestige même n’a servi qu’à l’inclure dans un service de tourisme entre les eaux de Vichy, les pin up de Cannes, les fleurs monnayées de Nice. (…) Moi, je veux bien. Mais je suis peut-être un peu en droit de ne pas être d’accord. (…) Je quitterai Avignon le jour où on croira bon de créer un festival en toute ville historique. Et non pas, parce que la concurrence est dangereuse, mais parce que cela prouvera que l’on nous a mal compris. » (1950)

« Il s’agit maintenant de savoir si ces festivals ont fait leur temps. (…) Il s’agit de savoir ce qu’ils ont désormais dans le ventre. (…) Que représentent ces festivals de l’été aux yeux du public ? Tourisme ? Passe-temps d’un soir ? Nuit d’été dans des enceintes historiques ? Beaux costumes dans des éclairages ad hoc ? Esthétisme des petits loisirs ? Shakespeare en veux-tu-en-voilà ? Perception des taxes municipales ? Accroissement des recettes des commerçants ? Tout le monde est heureux, tout le monde se réjouit, c’est parfait. Cependant, est-ce que les festivals n’ont d’autre ambition que de faire désormais partie de la panoplie du bonhomme moderne : frigidaire, télévision, 2 CV ? (…) Il (l’artiste) ne joue bien son rôle, il n’est utile aux hommes que s’il secoue ses manies collectives, lutte contre ses scléroses, lui dit comme le père Ubu : merdre ! » (1964)

Car pour Vilar, Avignon n’a existé que par défaut, parce qu’il n’y avait plus de théâtre de tréteaux, parce que le théâtre s’était enfermé et qu’il voulait, à toutes forces, retrouver un public populaire. Pour ce faire, il a multiplié les tournées et les représentations du TNP (Théâtre national populaire) et a fait d’Avignon un lieu « d’humanisme concret » comme il le souligne, lorsqu’il évoque les Rencontres internationales de jeunes qui s’y tiennent depuis les débuts, en 1947.

Si chacun, qui se réclame aujourd’hui de Vilar, pouvait méditer son témoignage profondément, véritablement, en se demandant quel a été, quel est et quel sera son rôle pour mettre en œuvre dans sa propre vie les convictions que portait Vilar plutôt que de les détourner à des fins de basse propagande et de vœux plutôt vains… ce serait beau… et cela bouleverserait radicalement le « paysage culturel ».

Et ce serait un autre monde que celui dans lequel nous vivons, où la culture est devenue outil de promotion sociale, de distinction personnelle et de séparation des classes. Où l’on se trimballe de vernissages en coquetails, dans le chaleureux entre-soi de ceux qui ont fait de la culture leur rempart et non, comme ce fut le cas de Vilar, un sacerdoce exigeant, pauvre et, tout compte fait, peu gratifiant dans sa quête d’une culture populaire

« comme entraide et non comme aumône ».

A Sète, où l’on se prépare à « célébrer dignement » ce centenaire, j’entends dans un bar : « Nous on s’en fout, mais pour ceux de la culture, c’est un gros projet ». Dans ce « nous », j’entends « peuple ». Dans « culture », j’entends un autre monde, éloigné, distinct. Distingué. Ce que Vilar nous a appris, doit continuer à nous apprendre, c’est à ne jamais se satisfaire de cette distinction :

« Il s’agissait, dans la société divisée de ce temps, de retrouver non pas un auditoire, mais un public ; non pas des snobs et des intellectuels, mais la foule. (…) un public de toutes les classes, de tous les horizons sociaux. » (1948)

Le travail reste à faire. Sans relâche. Voilà ce qui doit être au cœur et à l’esprit, quand on fait « œuvre de culture ». Ces traces vilardiennes ne resteront vives qu’à la condition qu’elles soient labourées par des gens honnêtes, d’abord envers eux-mêmes, et qui savent la tâche ardue. Car il faut rappeler que Vilar fut attaqué de toutes parts, rama toute sa vie à contre-courant, et mourut dans un relatif abandon.

« On voudra bien admettre qu’il est extrêmement ingrat d’être responsable pendant douze ans d’un théâtre populaire et d’une culture populaire par le théâtre au sein d’une société qui, de toute évidence, ne l’est pas. » (1963)

Alors… tant mieux si Vilar, à l’occasion du centenaire de sa naissance, revient au goût du jour… Tant mieux. A condition que chacun, qui a « affaire de culture », y voit l’occasion de réfléchir à sa propre pratique. A condition que la célébration de cette naissance ne soit pas l’enterrement de première classe des valeurs qui ont animé sa vie entière.

Hélène Morsly

Sète, mars 2012

Les citations sont extraites de :  « Le théâtre, service public », Jean Vilar, Gallimard, NRF, 1975, réédité en 1993.

Pour en lire plus, voir sur le site d’Hélène cliquez : http://www.helenemorsly.fr/vilar.htm

Partager cet article
Repost0

Hommage rendu au peintre René François Grégogna

Publié le par vicomtedebrageole

Hommage à René François Grégogna

Vendredi 2 Mars et Samedi 3 Mars 2012

Maison du peuple de Balaruc les Bains quartier des usines

 Invitation et programme

 clic clic Gregogna Je chante sur mon cheminl[1].pdf

entrée Libre et Gratuite

 

sete,balaruc les bains,rené françois gregogna,jechantesurmonchemin

 

Partager cet article
Repost0

Avec CETT'A.C ! à Sète une autre culture est possible

Publié le par vicomtedebrageole

Petit clin d'œil à CETT'A.C !

qui veut promouvoir et développer

toutes forme de cultures fondées sur les valeurs

de Liberté, d'Egalité et de Fraternité.

Et ça commence bien Vendredi 10 Février 21 h

avec les Neiges du Kilimandjaro

en présence du réalisateur Robert Guédiguian.

 

sete,cettac,culture,coemedia de sete

 

Partager cet article
Repost0

A Sète ce n'est pas le Caramentran qui manque, c'est le Corso !

Publié le par vicomtedebrageole

Que la confrérie des Mille et Une Pâtes nous pardonne, nous ne pouvions pas passer cette mascarade sous silence.

C'est un comble, les élus qui ont supprimé le Corso de Sète, se déguisent en penne rigate pour l'intronisation ........."Qué Caramentran" !

Le corso c est trop populaire.

Pour faire partie du gratin (de pâtes) ..... l'intronisation ça fait plus chic.

pour le poster clic clic sur l'article

 sete,corso de sete,caramentran,mille et une pates,derinaldo

 

Partager cet article
Repost0

Le lundi de la Saint Louis vu par un gabian au dessus du cadre

Publié le par vicomtedebrageole

Partager cet article
Repost0

Nous avions oublié qu'à Sète depuis hier c est la Saint Louis 2011

Publié le par vicomtedebrageole

 

Faut dire que le programme des festivités est arrivé tard mercredi en Mairie

 

sete,saint louis 2011,joute

 

 

Partager cet article
Repost0

la nouvelle bannière des vicomtes de brageole par notre ami(e) La patte !

Publié le par vicomtedebrageole

sete,bannière,la patte,rigolade dérision vérité

et alors quoi que vous en dites ?

Partager cet article
Repost0

Selon les voix vives de Midi Libre les Sétois seraient des têtes de cons !

Publié le par vicomtedebrageole

 sete,voix vives,restaurants,têtes de cons,la patte,midi libre

Heureusement notre ami La patte était dans le restaurant quand l'histoire s'est passée .....

 clic clic sur le dessin pour le poster

sete,voix vives,restaurants,têtes de cons,la patte,midi libre

Et si le restaurateur était une fripouille ...

nous suggérons à Midi Libre de s'inspirer de ce dessin

Partager cet article
Repost0

<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 > >>